Ariège 1830. Confronté à une révolte paysanne (la guerre des demoiselles), le nouveau juge de Saint-Girons interroge un jeune prisonnier. La population protège l'anonymat de ce dernier qui n'est connu que par son sobriquet : Sardanapale. Les industriels, exaspérés par les incendies de leurs forêts que les révoltés ont allumés, demandent un exemple. Mais le juge refuse de condamner Sardanapale qu'il considère comme un comparse inoffensif. Il perdra la face et sera obligé de démissionner car le jeune garçon, en incendiant volontairement le tribunal, deviendra le héros populaire qu'il n'a jamais été.