La mère des Indrans, malgré sa faiblesse et son désir incessant de rompre la querelle, conserve néanmoins les qualités de la maîtresse en tant que chef. Cela se ressent particulièrement dans les conversations avec Eve. Elle est loin d’être en paix avec les abus non plus, surtout quand elle apprend que la lettre de son fils a été falsifiée de la main d’Eve. Le cœur de la vieille maîtresse, qui aspire à la paix avant, est agité face à la malhonnêteté.